L’étranger errait dans les ruelles du carnaval sans arrêt, empruntant la voie de les voiles colorés qui semblaient figés dans un carrure d’oubli hypnotique. Chaque adhérent dansait complaisamment, sans jamais s’arrêter, comme s’ils étaient pris dans une bouclette temporelle avec lequel personne ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien https://elliottkfuqh.losblogos.com/32953881/le-soirées-des-identités-perdues