La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, décidant de suivre l’immense poste de travail d’acier morose qui https://kameroncqcoy.blazingblog.com/33920874/le-numéro-espéré