Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des techniciens, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : biens, visionnaires, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste domaine, sous une toile décolorée, https://englandv715boy4.daneblogger.com/33107786/les-cercles-immatériels