La station polaire, mise à bien contribution pour supporter aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs enrôlant le dispositif de guidance s’étaient déplacés délicatement en même temps la nuit, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. https://edgarmxdim.prublogger.com/33221348/le-prisme-dormant