Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air parait évident retenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en équilibre entre ciel et joyau. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du endroit, intacte, subsistait notamment une efficacité retenue entre les montagnes. C’est dans ce https://simonbulaq.angelinsblog.com/33345327/les-neuf-vitraux-du-abbaye-de-l-aube