Rueil, 2150. Trente jours de artifices continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une infamie lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans maussaderie, mais sans relâche, couvrant les vitres d’un voilage ininterrompu, noyant les rues par-dessous une lumiere grise. Les égouts débordaient, les transitaires disparaissaient, et les https://advoyance28372.p2blogs.com/33118502/la-feu-sempiternellement